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Le Refuge Animalier Vauverdois

LE REFUGE DE VAUVERT

 

Le Refuge Animalier Vauverdois est situé dans la commune de Vauvert dans le département du Gard. Irène la propriétaire du refuge accueille une quarantaine de chiens. Tous profitent d’une vie de famille et de bons soins. Les plus âgés ont droit à un régime de faveur, ils ont intégré la maison. Ils finiront leur vie dans le cadre familial, entourés d’affection. Les autres, les jeunots et les moins jeunes se partagent le chenil dans différents box, chacun a sa maisonnette en béton et un petit coin de verdure à sa disposition pour courir et jouer dans l’herbe… C’est un endroit agréable qui leur permet d’attendre la visite d’une  famille qui viendra les chercher.

Propriètaire : Irène MEGER
Refuge Animalier Vauverdois
Terres la Rouvière
30600 VAUVERT
TEL FIXE : 04 66 53 23 52
TEL PORT : 06 66 87 21 98

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      Irène et son mari lors d'un vide grenier

Irène, son mari

et leur fille Isabelle

lors de collectes

de croquettes

Le refuge de Vauvbert

et le lavage journalier des couvertures

Depuis presque 30 ans,  Irène MEGER  et son mari Marc s’activent à faire vivre le refuge qu’ils ont créé. C’est un lieu de vie agréable perdu dans les vignes.
Un chenil a peu à peu rempli leur terrain et s’est étendu sur environ 2000 mètres carrés. Les chiens vivent deux par deux dans de grands enclos où ont été construites de petites maisonnettes entièrement carrelées à l’intérieur pour un entretien facile et sain.
Chaque chien a sa corbeille et une grande couverture pour s’y lover dedans. Tous les soirs les chiens sont rentrés dans leur maison afin d’y passer une nuit à l’abri du froid et de l’humidité. Entre 40 à 50 chiens vivent sur les lieux.
Irène et son mari participent le plus souvent possible à des collectes de croquettes afin de nourrir les chiens du refuge et à chaque fois les collectes sont très productives, c’est pas moins de 1 tonne et 500 kg qui sont récoltés.
La population des environs se mobilise pour aider le refuge. Aucune subvention  de la commune ne vient aider financièrement les propriétaires qui font aussi le plus souvent possible des vides greniers pour faire rentrer l’argent nécessaire  aux soins vétérinaires souvent fréquents.
Les examens sanguins dès qu’un chien entre au refuge, les vaccins, les stérilisations se succèdent sans arrêt et les frais de fonctionnement sont importants.
Dès qu’un appel est lancé concernant une maltraitance proche de leur commune les propriétaires Irène et Marc ne manquent pas de s’investir en s’organisant au plus vite pour aller récupérer les malheureux en souffrance.
Ils ne ménagent pas leur peine afin que leurs protégés profitent d’une vie digne lors de leur passage au refuge.
Malheureusement  tous n’auront pas le grand bonheur de retrouver une famille et bien entendu ceux qui restent sont les plus vieux qui ont pour la plupart été lâchement abandonnés par leurs anciens maitres car trop vieux et trop susceptibles d’attraper toutes les maladies possibles dues à leur âge.
Ils vont coûter trop d’argent et il est plus facile de venir les larguer à d’autres bonnes âmes sans se poser la question de savoir qui va devoir faire face à de potentiels soins vétérinaires dans les temps à venir
Les examens sanguins dès qu’un chien entre au refuge, les vaccins, les stérilisations se succèdent sans arrêt et les frais de fonctionnement sont importants.
Dès qu’un appel est lancé concernant une maltraitance proche de leur commune les propriétaires Irène et Marc ne manquent pas de s’investir en s’organisant au plus vite pour aller récupérer les malheureux en souffrance.
Ils ne ménagent pas leur peine afin que leurs protégés profitent d’une vie digne lors de leur passage au refuge.
Malheureusement  tous n’auront pas le grand bonheur de retrouver une famille et bien entendu ceux qui restent sont les plus vieux qui ont pour la plupart été lâchement abandonnés par leurs anciens maitres car trop vieux et trop susceptibles d’attraper toutes les maladies possibles dues à leur âge.
Ils vont coûter trop d’argent et il est plus facile de venir les larguer à d’autres bonnes âmes sans se poser la question de savoir qui va devoir faire face à de potentiels soins vétérinaires dans les temps à venir
Avec l’âge qui avance pour Irène et son mari la fatigue est plus difficile à supporter. Marc vient d’avoir 79 ans, Irène a 10 ans de moins et depuis 30 ans qu’ils s’impliquent corps et âme à faire vivre leur refuge ils aimeraient pouvoir lever un peu le pied
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